• Les incontournables à faire

    Automatiquement on se demande, Lisbonne c’est quoi ?

    Eh bien je vous répondrai que Lisbonne, c’est comme un immense village où l’on se sent comme chez soi.

    Ensuite, vous me direz, mais pourquoi on s’y sent si bien ?

    Et là je dirai que Lisbonne sait tout simplement nous accueillir et nous faire voyager en toute simplicité tout en nous transmettant sa riche culture traditionnelle portugaise, qui lui va si bien.

    Puis vient la question fatidique… Quelle est la particularité de sa culture ?

    Pour cette fois-là, je ferai exception et je choisirai de me taire en vous invitant à lire la suite et comprendre un peu mieux le fond de ma pensée sur cette culture qui est la mienne.

    Le musée de l’azulejos

    Maîtres incontestés dans l’art de peindre ces petits carreaux de faïence que l’on appelle ici l’azulejo, les portugais ont beaucoup développé cette tradition. L’azulejo a été utilisé au cours des siècles pour divers motifs : l’élégance et la décoration, mais aussi pour ses vertus rafraichissantes. Sa présence est partout au Portugal : sur les façades et à l’intérieur des maisons, sur les édifices public et religieux, dans la rue et même dans le métro. L’azulejo est tellement associé au Portugal que sa seule présence suffit à évoquer même à l’étranger une atmosphère toute lusitanienne.

    Pour rendre hommage à cet art et au style tout particulier de l’azulejo au Portugal, le musée de l’azulejo est un passage obligé à Lisbonne pour ceux qui veulent découvrir l’histoire de cet élément si important de la culture et de l’esthétique portugaise.

    Au cours de la visite, le visiteur comprendra en plus des évolutions artistiques de l’azulejo, ses techniques de fabrication, depuis ses origines jusqu’à l’époque contemporaine. À ne pas manquer l’ex-libris du musée : une fresque longue de 36 mètres composée de 1300 azulejos illustrant la ville de Lisbonne avant le tremblement de terre de 1755. 

     

    Le musée du Fado

    Devenu patrimoine culturel immatériel de l’humanité en 2011, le Fado dispose d’un très beau musée qui lui est consacré. Le visiteur peut y découvrir ce genre musical quelque peu mélancolique à travers différents ateliers interactifs comme l’écoute de plusieurs enregistrements d’époque, l’observation de belles photos qui retracent l’histoire du fado dès sa naissance dans les quartiers urbains de la ville…

    Le musée dispose également d’un restaurant à la décoration contemporaine où l’on peut savourer des plats typiques de la gastronomie portugaise, tout en écoutant le soir venu du fado chanté par quelques fadistes de passage plus ou moins connus. La boutique du musée est le lieu idéal pour se procurer des disques de fados plus ou moins récents pour apporter une touche portugaise à votre playlist.

     

    L’océanorium

    Edifice construit pour l’Expo’98, l’Océanorium est l’un des plus grands aquariums du monde. Prévu pour sensibiliser les visiteurs aux merveilles naturelles et biologiques que sont les océans de la Planète, il contient 25 000 espères animales et végétales. Recréant les habitats des quatre principaux océans et leurs rivages, il est constitué par un bassin central pouvant contenir l’eau de quatre piscines olympiques.

    Dessiné par l’architecte américain Peter Chermeyeff, il se veut comme une représentation de ce que sont réellement les océans : une seule et même masse océanique.

    Petit plus : La garantie d’une expérience inoubliable et enrichissante pour toute la famille et notamment pour les enfants qui se croient plongés à 20 000 lieux sous les mers.

      

    L’ancienne fabrique des Pasteis de Belem

    Si vous ne deviez visiter qu’un seul café à Lisbonne, c’est celui qu’il faudrait visiter !!!

    C’est en effet ce café-pâtisserie qui conserve la recette originale des Pastéis de Belém, dont la confection aurait été inventée dans le monastère tout proche. Plus connus sous le nom de Pastéis de Nata, cette pâtisserie détient l’exclusivité de l’appellation “Pastéis de Belém” et en confectionne plus de 10.000 par jour. Servis tièdes, les plus gourmands pourront y ajouter selon les goûts de la cannelle ou du sucre glace. La légende raconte que seules trois personnes détiennent le secret de la recette qui est protégée par un contrat qui stipule une indemnité équivalant à 300 ans de salaire en cas de divulgation. Ces délices peuvent être consommés sur place ou emportés dans d’astucieux tubes de 12 pièces faciles à transporter.

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :